Le blog de IIAHMN

Bienvenue à la découverte de mon monde

admin1143

admin1143 / 7 mai 2025

Des séjours mémorables dans des lieux d’exception

La recherche de propriétés de haut niveau au sein de l’entreprise hôtelière est un voyage à multiples facettes, qui englobe non seulement la recherche d’un hébergement luxueux, mais aussi la quête d’expériences exceptionnelles, de services inégalés et d’attributs exclusifs qui font de ces établissements des lieux à part. Cette exploration implique différents acteurs, notamment des commerçants, des hôteliers et des amis exigeants, qui jouent tous un rôle crucial dans l’élévation de l’industrie hôtelière vers des sommets remarquables de sophistication et d’exclusivité.

Du point de vue de l’investissement et du développement, la recherche de propriétés de haut niveau est motivée par l’attrait de revenus élevés et la réputation associée à la possession ou à la construction de complexes hôteliers de premier plan. Les investisseurs et les promoteurs analysent attentivement les tendances du secteur, les préférences des clients et les nouvelles normes haut de gamme afin d’identifier les opportunités qui promettent non seulement des gains économiques, mais aussi la possibilité de redéfinir le luxe. Ils collaborent fréquemment avec des designers, des concepteurs et des marques d’hôtellerie de renom pour créer des qualités qui incarnent le summum du haut de gamme, de l’innovation et de la durabilité, attirant ainsi une clientèle aisée et établissant de nouvelles références au sein de l’industrie hôtelière.

Pour les marques de motels, la recherche de propriétés de haut niveau est au cœur de leur stratégie de différenciation et de positionnement sur le marché. Sur un marché encombré, les marques de motels de luxe s’efforcent de se distinguer en créant ou en acquérant des établissements qui offrent des expériences uniques et inoubliables. Il peut s’agir d’anciens châteaux transformés en logements somptueux, de bungalows au-dessus de l’eau avec des sols transparents ou de gratte-ciel urbains avec des vues panoramiques sur la ville. Chaque maison est soigneusement conçue pour refléter l’éthique de la marque, qu’il s’agisse d’une élégance subtile, d’un design d’avant-garde ou d’un haut de gamme respectueux de l’environnement, ce qui permet de toucher une clientèle ciblée qui recherche l’exclusivité et un service personnalisé.

Les attentes du voyageur de luxe d’aujourd’hui vont au-delà d’un décor opulent et d’installations haut de gamme. Ils recherchent des activités transformatrices qui soient spéciales, personnalisées et mémorables. C’est pourquoi les centres de villégiature d’élite ne cessent d’innover pour offrir des services professionnels sur mesure, qu’il s’agisse d’échanges de jets exclusifs, d’expériences culinaires dans les chambres, d’aventures à proximité ou de retraites de bien-être. L’accent est mis sur la création de liens mentaux, que ce soit par le biais d’une attention personnalisée, d’une immersion sociale ou de choix axés sur le bien-être, garantissant ainsi que les clients ne se contentent pas d’apprécier leur séjour, mais qu’ils nouent un lien durable avec la marque.

À une époque où la technologie et la durabilité sont primordiales, les établissements de haut niveau intègrent des solutions révolutionnaires pour améliorer le confort des clients tout en adhérant à des pratiques respectueuses de l’environnement. Les zones intelligentes équipées de systèmes pilotés par l’IA, les applications mobiles pour une assistance sans faille et les excursions en réalité numérique deviennent des éléments normaux dans les centres de villégiature de luxe. Simultanément, il existe une forte exposition accrue à la durabilité, avec de nombreux attributs d’élite adoptant des normes de construction écologiques, mettant en œuvre des pratiques efficaces en matière d’énergie, et offrant des options de restauration biologique et d’origine locale, attirant ainsi les voyageurs haut de gamme soucieux de l’environnement.

La compréhension du psychisme des clients d’élite est cruciale dans la recherche et le développement de propriétés haut de gamme. Ils recherchent l’exclusivité, l’intimité et une assistance irréprochable. Les établissements d’hébergement d’élite répondent à ces besoins en offrant des services de majordome personnalisés, des villas ou des étages personnels, ainsi que des salons ou des destinations insulaires sur invitation seulement. Le personnel de ces établissements est souvent très bien formé pour anticiper les demandes des clients et fournir un service discret et attentif, en veillant à ce que chaque aspect du séjour du client soit méticuleusement respecté.

Le caractère international de l’hôtellerie de luxe exige une compréhension approfondie des nuances sociales et des coutumes locales. Les établissements d’élite intègrent souvent l’art, la cuisine et les traditions locales dans leurs produits, offrant ainsi aux visiteurs une expérience réelle et enrichissante. Cette sensibilité culturelle, associée à une norme de luxe mondiale, permet aux établissements d’élite d’attirer une clientèle internationale diversifiée tout en lui offrant un sentiment d’appartenance à un lieu et un lien avec la culture locale.

L’identification et le développement de propriétés de haut niveau ne se font pas sans difficultés. Les fluctuations du secteur, l’instabilité géopolitique et l’évolution des préférences des acheteurs sont autant de facteurs qui peuvent affecter la viabilité et les bons résultats des hôtels de luxe. Toutefois, ces difficultés offrent également des possibilités d’innovation, permettant aux hôteliers de tirer parti des technologies modernes, d’adopter le développement durable et de créer des expériences beaucoup plus personnalisées, uniques et riches sur le plan culturel pour leurs visiteurs.

En fin de compte, la recherche de qualités d’élite dans le secteur de la villégiature est une quête incessante de l’excellence. Il s’agit en fait de créer des espaces qui non seulement offrent un confort tentant, mais qui résonnent également à un niveau mental plus profond avec les clients. Il s’agit d’anticiper les besoins et de dépasser les attentes des touristes les plus exigeants, en veillant à ce que leur séjour ne soit pas seulement agréable, mais vraiment remarquable. Ce faisant, ces qualités d’élite ne contribuent pas seulement au prestige de leur marque ; elles élèvent également l’ensemble du marché de l’hôtellerie, en fixant de nouvelles normes et en inspirant d’autres personnes à suivre leur exemple dans la poursuite sans fin de la perfection.

La recherche de qualités d’élite dans l’hôtellerie est un effort complexe et dynamique qui dépasse le simple luxe. Elle implique une connaissance approfondie du marché, des approches novatrices en matière d’accueil des clients et un engagement en faveur de l’excellence dans tous les aspects de l’accueil. Au fur et à mesure de l’évolution du secteur, cette quête se poursuivra sans aucun doute et façonnera l’avenir des voyages de luxe, en offrant des destinations toujours plus remarquables, motivantes et uniques aux voyageurs les plus exigeants du monde.

admin1143 / 15 janvier 2025

Simulateurs de vol : Une initiation pour tous les passionnés d’aviation

Les simulateurs de vol professionnels, longtemps réservés à l’entraînement des pilotes, sont désormais accessibles au grand public. Certaines entreprises proposent des sessions encadrées sur ces équipements avancés. Ces simulateurs reproduisent avec précision les conditions de vol d’un avion de ligne. Ils permettent de découvrir les sensations ressenties dans un cockpit.

Ces dispositifs sont généralement utilisés pour former les pilotes dans des environnements réalistes. Ils simulent des scénarios variés, comme les décollages, atterrissages ou conditions météorologiques complexes. Le grand public peut désormais expérimenter ces situations dans un cadre sécurisé. Les commandes, l’affichage des instruments et la sensation d’immersion sont fidèles à celles d’un véritable avion.

Les sessions proposées varient selon les entreprises. Certaines permettent de choisir des trajets spécifiques ou des aéroports précis pour personnaliser l’expérience. D’autres incluent des scénarios de gestion de pannes ou d’urgence. Chaque session est encadrée par un instructeur qualifié, souvent un pilote professionnel ou un ancien formateur. L’objectif est d’accompagner les participants dans la découverte des bases du pilotage et de répondre à leurs questions.

Ces simulateurs utilisent des technologies avancées pour reproduire les mouvements, les bruits et les vibrations d’un avion en vol. Ils intègrent également des systèmes visuels haute définition qui recréent des paysages réalistes. Les participants peuvent ainsi survoler des villes, montagnes ou océans avec un réalisme saisissant. La précision des détails vise à offrir une expérience immersive, simulateur avion tout en restant accessible aux débutants.

L’accès à ces simulateurs est possible dans plusieurs centres en France et à l’étranger. Les sessions durent généralement entre 30 minutes et deux heures. Les tarifs varient en fonction de la durée et des options choisies. En moyenne, une session de 60 minutes coûte entre 150 et 300 euros. Certaines entreprises proposent des forfaits pour des groupes ou des événements spéciaux.

Ces activités s’adressent à un public large. Les passionnés d’aviation, les curieux ou ceux souhaitant découvrir un métier peuvent y participer. Les simulateurs permettent aussi aux personnes ayant peur de l’avion de mieux comprendre les procédures et le fonctionnement d’un vol. Dans ce cadre, certains centres offrent des programmes spécifiques pour aider à surmonter l’anxiété liée au transport aérien.

Pour réserver une session, il suffit souvent de passer par les sites web des entreprises concernées. Certains centres exigent une réservation à l’avance, surtout pour les week-ends ou les périodes de forte affluence. Les conditions d’accès varient selon les simulateurs. Par exemple, une taille minimale ou une condition physique particulière peuvent être requises pour manipuler les commandes. Les enfants accompagnés par un adulte peuvent également participer, sous réserve d’un âge minimum.

L’intérêt pour ces simulateurs a augmenté ces dernières années. Avec l’évolution des technologies, ces équipements sont devenus plus accessibles en termes de coût et d’implantation. Certains centres proposent même des simulateurs mobiles pour des événements ponctuels. Cela élargit les possibilités pour ceux qui souhaitent essayer cette expérience près de chez eux.

Cette activité ne se limite pas au plaisir ou à la découverte. Elle peut aussi constituer un premier pas vers une carrière dans l’aviation. Les participants intéressés par les métiers de l’aéronautique peuvent bénéficier d’une initiation avant de s’engager dans une formation plus poussée. Pour les entreprises qui exploitent ces simulateurs, cela représente une opportunité de promouvoir leur expertise et de sensibiliser le public aux métiers liés au transport aérien.

En conclusion, l’ouverture des simulateurs de vol professionnels au grand public marque une évolution intéressante. Elle permet de démocratiser l’accès à une technologie autrefois réservée aux professionnels. Les participants peuvent vivre une expérience unique et enrichissante, tout en apprenant les bases du pilotage et en découvrant un univers souvent méconnu. Cette activité continue d’attirer un public diversifié et de répondre à des attentes variées.

admin1143 / 5 septembre 2024

Réformer le Système Carcéral

Le système carcéral joue un rôle essentiel dans la préservation de l’ordre public et la réhabilitation des individus condamnés. Cependant, dans de nombreux pays, les prisons sont confrontées à des défis majeurs, tels que la surpopulation, la violence, la récidive et les inégalités systémiques. Dans cet essai, nous examinerons l’importance de réformer le système carcéral pour promouvoir une approche plus humaine, réhabilitante et réintégratrice.

Premièrement, il est crucial de promouvoir une approche plus humaine et respectueuse des droits de l’homme dans le traitement des détenus. Cela implique de garantir des conditions de détention dignes et sécurisées, en veillant à ce que les droits fondamentaux des détenus, tels que l’accès aux soins de santé, à l’éducation et aux activités récréatives, soient respectés. Les prisons doivent être des lieux de réhabilitation et de réinsertion, plutôt que de punition et d’incarcération.

Deuxièmement, il est essentiel de promouvoir des programmes de réhabilitation efficaces qui visent à réduire la récidive et à favoriser la réintégration sociale des détenus. Cela implique de fournir un accès à des services de traitement pour les problèmes de santé mentale, de toxicomanie et de réinsertion professionnelle, ainsi que de promouvoir l’éducation, la formation professionnelle et les programmes de réadaptation sociale au sein des établissements pénitentiaires. Les prisons doivent être des lieux de transformation et de rédemption, où les détenus ont la possibilité de reconstruire leur vie et de devenir des membres productifs de la société.

Troisièmement, il est important de promouvoir des alternatives à l’incarcération pour les délits mineurs et les populations vulnérables, en mettant l’accent sur la prévention, la médiation et la justice réparatrice. Les gouvernements doivent investir dans des programmes de prévention du crime, tels que l’éducation, l’emploi et le logement, afin de réduire les facteurs de risque qui conduisent à la délinquance. De plus, les tribunaux doivent avoir recours à des sanctions alternatives à l’incarcération, telles que les travaux d’intérêt général, la probation et les programmes de surveillance électronique, pour les délinquants non violents et les populations vulnérables.

En conclusion, la réforme du système carcéral est essentielle pour promouvoir une approche plus humaine, réhabilitante et réintégratrice de la justice pénale. En garantissant des conditions de détention dignes et sécurisées, en promouvant des programmes de réhabilitation efficaces et en favorisant des alternatives à l’incarcération, nous pouvons construire un système carcéral plus juste, plus efficace et plus respectueux des droits de l’homme. En unissant nos efforts pour réformer le système carcéral, nous pouvons œuvrer ensemble pour construire une société plus sûre, plus juste et plus humaine pour tous.

admin1143 / 4 juillet 2024

Jean Zay et la refonte de la gauche française

Il y a dix jours, j’ai assisté à un colloque à la mémoire de Jean Zay, ministre de la formation dans le gouvernement du Front inconnu français des années 1930, dirigé par le socialiste Léon Blum. Malheureusement, il est préférable de se souvenir de Zay pour sa fin déchirante. Emprisonné par le gouvernement de Vichy en 1940, il a été photographié juste avant la Libération par leur Milice paramilitaire.

L’ambiance est sombre. Les participants étaient en effet sous le choc de la dissolution inattendue du parlement par Emmanuel Macron après les élections européennes. Cette détermination téméraire était presque certainement motivée par l’idée que, tous les Français restant divisés, les élections pourraient profiter au centre macroniste. Mais en l’espace de quatre jours et quatre nuits, les partis restants ont formé une alliance électorale, baptisée le Nouveau Front Connu (NFP), en l’honneur de l’impressionnant gouvernement Blum. Comme son prédécesseur, le PFN est assurément un ensemble complexe d’entreprises, mais les deux éléments clés sont le parti socialiste et la France Insoumise (LFI) de Jean-Luc Mélenchon.

Pendant trois décennies, la gauche française a été dominée par le groupe socialiste (PS) de François Mitterrand. Cette domination s’est érodée au fur et à mesure que le parti s’éloignait de sa base de travail. Le dernier clou du cercueil a été la présidence inefficace de François Hollande de 2012 à 2017. Profitant de la désillusion, Mélenchon, un ancien directeur du PS, a formé la LFI, motivé par le mouvement anti-austérité de langue espagnole Podemos. Lors de l’élection présidentielle de 2017, il est arrivé en quatrième position avec 20 % des voix, même si le candidat socialiste a obtenu 6 % des voix. En 2022, il est arrivé en deuxième position avec 22 % des voix ; le candidat socialiste a obtenu 1,75 %.

Mélenchon, une sorte de Corbyn français, est en réalité un démagogue charismatique, qui fait preuve d’une tendance à l’autoritarisme étrangère à Corbyn. Il est hostile à l’UE, anti-américain et indulgent envers la fédération russe de Poutine. À son crédit, il a défendu les minorités musulmanes plus que d’autres politiciens français. Mais en 2022, il a adopté des rôles de plus en plus stridents. Après l’invasion d’Israël du 7 octobre, il a refusé de qualifier le Hamas de groupe terroriste. Le type de leadership brutal de Mélenchon lui a aliéné ses propres compagnons de travail. Sa cote de popularité a commencé à baisser. Lors des élections européennes de cette année, la LFI a obtenu des résultats inférieurs à ceux des socialistes. Et c’est l’un de ses rivaux qui a devancé Mélenchon en lançant l’idée du PFN. Mélenchon avait besoin de s’y ajouter.

Le développement du PFN représente un moment crucial dans la politique nationale française, faisant écho à l’héritage du Front bienveillant des années 1930, qui a réuni diverses factions de gauche pour lutter contre le danger croissant du fascisme. Toutefois, le paysage gouvernemental contemporain est beaucoup plus fragmenté et controversé. Le problème du PFN est de réconcilier les idéologies et les stratégies divergentes des partis qui le composent afin de constituer un front unifié capable de défier le projet centriste de Macron.

Le Parti socialiste, qui était une force redoutable sous Mitterrand, a vu son impact diminuer considérablement. Le fait qu’il se soit éloigné d’une approche axée sur le travail pour adopter une approche plus centriste, moins que Hollande, lui a aliéné sa base, ce qui a entraîné une forte baisse de son soutien. Pendant ce temps, la LFI de Mélenchon a capitalisé sur le mécontentement, se plaçant comme la véritable voix de ceux qui sont restés, plaidant pour un changement radical et des politiques de contre-organisation. Mais les tactiques de division et les positions controversées de Mélenchon ont également créé des frictions au sein de la gauche, compliquant les efforts pour forger une alliance cohésive.

La dissolution du parlement par Macron et la formation du PFN qui a suivi soulignent la volatilité et l’imprévisibilité de la politique française. L’alliance rapide des partis de gauche en réponse à la manœuvre de Macron révèle une capacité d’adaptation stratégique ainsi qu’une identification commune de la nécessité de la solidarité face à l’adversité politique. Toutefois, la préservation de cette unité nécessitera des négociations et des compromis prudents, notamment en raison des clivages idéologiques et des rivalités privées qui ont pu affecter historiquement les Français restants.

Le souvenir de Jean Zay et du Front populaire historique est à la fois une source d’inspiration et une mise en garde pour le PFN. La capacité du Front populaire à mobiliser une large coalition pour mener à bien d’importantes réformes sociales et politiques démontre le pouvoir de l’unité. Toutefois, les tensions internes et la désintégration finale de cette coalition particulière mettent également en évidence la fragilité des alliances. Les PFN doivent relever ces défis en ayant une vision claire et une détermination à aborder les questions urgentes qui trouvent un écho auprès des électeurs modernes, en particulier la jeune génération désillusionnée par la politique conventionnelle.

Le colloque à la mémoire de Jean Zay n’a pas seulement privilégié un aspect historique tragique, mais a également reflété la dynamique politique actuelle en France. L’émergence du PFN comme réponse à la technique politique de Macron reflète une nouvelle tentative d’unité de la gauche, inspirée par l’héritage de l’Entrée populaire des années 1930. Il reste à voir si cette nouvelle alliance peut surmonter ses divisions internes et fournir une alternative fiable aux politiques centristes de Macron, mais son développement marque un moment important dans l’évolution en cours de la vie politique quotidienne en France.

admin1143 / 27 juin 2024

S’initier aux cépages et aux terroirs

Apprendre à apprécier le vin, ce n’est pas seulement boire une boisson, c’est aussi commencer un voyage de découverte, d’exploration et de plaisir sensoriel. Des vignobles luxuriants de Bordeaux aux pentes ensoleillées de la Napa Valley, le vin possède une histoire, une culture et une tradition riches qui captivent les amateurs du monde entier. Dans cet essai particulier, nous allons nous plonger dans le monde multiforme de la reconnaissance du vin, en explorant ses nuances, ses difficultés et les plaisirs qu’il apporte à ceux qui s’engagent dans ce beau voyage.

Pour vraiment apprécier le vin, il faut d’abord en comprendre les fondements. Des cépages et du terroir au processus de vinification et aux techniques de vieillissement, il y a beaucoup à apprendre dans le domaine complexe de la viticulture et de l’œnologie. L’étude des différents cépages, dont le cabernet sauvignon, le chardonnay et le pinot noir, et de leurs caractéristiques uniques est essentielle pour connaître la diversité des vins disponibles.

Le développement d’un palais perspicace est un aspect essentiel de l’appréciation des vins. Des vins savoureux provenant de régions, de cépages et de millésimes différents permettent aux amateurs d’affiner leurs perceptions sensorielles et de reconnaître les subtilités du goût, de l’arôme et de la texture. Grâce à la pratique et à l’expérience, les gens peuvent apprendre à détecter les remarques de fruits frais, d’épices, de monde et de chêne, et à apprécier l’équilibre, la complexité et la structure d’un vin bien fait.

L’un des aspects les plus passionnants de l’admiration du vin est l’étude de la diversité des régions viticoles à travers le monde. Chaque région possède son propre climat, sa propre structure de sol et ses propres traditions de vinification, qui confèrent des caractéristiques distinctives aux vins qui y sont produits. Qu’il s’agisse des rouges audacieux de Toscane, des blancs élégants de Bourgogne ou même des mousseux vibrants de Champagne, accorder les vins aux poissons chaque région de vin rouge offre une nouvelle rencontre fascinante à découvrir pour les passionnés.

Apprendre à marier le vin et les mets est un art à part entière. Découvrir comment les différents goûts et textures se complètent ou contrastent les uns avec les autres permet d’enrichir l’expérience culinaire et d’améliorer la satisfaction du vin et du repas. Des accords classiques comme le Cabernet Sauvignon avec un steak aux combinaisons plus excitantes comme le Riesling avec la cuisine thaïlandaise épicée, les options sont illimitées et offrent d’innombrables possibilités d’exploration et d’expérimentation.

Au-delà des plaisirs sensoriels, l’admiration du vin consiste également à embrasser le riche patrimoine social et les traditions liées au vin. Des rituels et événements anciens aux festivals et célébrations contemporains, le vin joue un rôle clé dans le passé et la société de l’humanité depuis des millénaires. Comprendre les coutumes, les rituels et l’étiquette qui entourent la consommation de vin ajoute du degré et des moyens à la rencontre et favorise un lien plus profond avec le vin lui-même.

En fin de compte, apprendre à apprécier le vin est un voyage à long terme qui évolue et s’approfondit avec le temps. Il ne s’agit pas seulement d’acquérir des connaissances ou d’affiner son palais, mais aussi de développer une passion pour la recherche, la découverte et le plaisir. Qu’il s’agisse d’assister à des dégustations, de visiter des vignobles ou simplement de discuter d’un pot avec des amis, chaque expérience pratique offre l’occasion d’apprendre, de se perfectionner et de savourer les merveilles du vin.

Apprendre à apprécier le vin est en fait un voyage de découverte, d’investigation et de plaisir sensoriel. De la compréhension des bases de la viticulture et de l’œnologie à la formation d’un palais averti, en passant par la découverte des vignobles du monde entier, il y a beaucoup à comprendre et à étudier. En adoptant les riches traditions et pratiques culturelles associées au vin et en développant une passion à vie pour l’exploration et le plaisir, les fanatiques peuvent s’engager dans un voyage véritablement gratifiant et enrichissant leur vie d’innombrables façons. Santé au monde merveilleux du vin !

admin1143 / 2 mai 2024

Réseautage en déplacement: meilleures pratiques

Les voyages d’affaires vont souvent au-delà de la simple participation à des réunions et de la conclusion de marchés ; ils constituent une occasion cruciale de développer et de cultiver des relations professionnelles. Les relations en face à face peuvent renforcer la confiance et favoriser le respect mutuel, ce qui n’est souvent pas aussi efficace par le biais de courriels ou de conférences virtuelles. Cet article explore la dynamique des voyages d’affaires, de la préparation au suivi, en mettant l’accent sur les personnes qui participent aux conférences et en maximisant chaque occasion d’établir un système et de se développer professionnellement.

Organiser et préparer le voyage : Une planification efficace est la clé de voûte d’un voyage d’affaires sans tension. Il s’agit de réserver les vols et l’hébergement bien à l’avance afin de bénéficier des meilleurs tarifs et de s’assurer que les horaires de voyage s’alignent parfaitement sur ceux de l’entreprise. En outre, le fait de comprendre le plan et les informations des personnes que vous risquez de rencontrer peut vous aider à adapter vos préparatifs et vos interactions.

Faire ses valises et choisir son hébergement : La préparation des bagages pour un voyage d’affaires doit trouver un équilibre entre professionnalisme et confort. L’essentiel consiste en des vêtements professionnels et des vêtements de tous les jours pour les moments de détente, ainsi que tous les appareils technologiques essentiels. Le choix d’un bon hébergement implique de réfléchir à l’emplacement, aux équipements et à l’utilisation des lieux de réunion, ce qui peut considérablement affecter l’efficacité et l’ambiance de vos vacances.

Le temps de voyage peut être considéré soit comme une pause dans la productivité, soit comme une occasion de la stimuler. Pour ceux qui sont prêts à profiter de cette dernière possibilité, il peut être utile de planifier des éléments de travail, de revoir des présentations ou même de se familiariser avec les traditions commerciales du lieu où l’on se trouve. Il est tout aussi important de se reposer suffisamment pendant le voyage pour arriver frais et dispos à l’interaction.

Stratégies de mise en réseau efficaces : Les voyages d’affaires sont uniques en ce sens qu’ils offrent la possibilité de rencontrer en personne des acteurs clés du secteur. Les stratégies efficaces consistent à participer activement aux événements, à poser des questions pertinentes pendant les sessions et à rechercher des introductions par le biais de relations mutuelles.

Sensibilité et interaction culturelles : Comprendre et respecter les nuances culturelles peut grandement améliorer les performances en matière de communication. Qu’il s’agisse de savoir quand il faut commencer à serrer la main ou même quels sont les sujets de conversation appropriés, voyage entreprise Eilat la sensibilité ethnique peut créer une variation significative dans la prospérité de vos interactions.

À l’ère du numérique, divers outils et applications sont essentiels pour les voyageurs. Qu’il s’agisse de LinkedIn pour entretenir des profils de spécialistes et des connexions, ou d’applications de gestion des voyages comme Concur pour la gestion des horaires, la technologie moderne peut améliorer de nombreux éléments des voyages d’affaires, ce qui permet de se concentrer sur l’objectif du voyage – rencontrer des gens et nouer des liens.

Le temps et les efforts consacrés au marketing pendant les voyages d’affaires ne doivent jamais être gaspillés. Un suivi efficace consiste à envoyer des courriels personnalisés, à se connecter sur LinkedIn ou même à organiser des réunions de suivi pour poursuivre la conversation. Ces gestes témoignent d’un professionnalisme et d’un intérêt sincère, ce qui contribue à consolider les relations et à ouvrir la voie à de futures collaborations.

Les voyages d’affaires offrent des occasions inestimables de rencontrer des amis, d’explorer de nouveaux marchés et de nouer des relations professionnelles durables. En considérant chaque voyage comme une opportunité tactique de progrès, les professionnels peuvent accroître de manière significative leur influence et leur efficacité dans leur secteur d’activité.

admin1143 / 16 avril 2024

Les crimes haineux en croissance à cause du Covid-19

Parce que la pandémie a commencé à ravager le monde entier avant cette année à venir, l’activiste Amazin LeThi a vu avec une inquiétude croissante les rapports croissants de crimes de haine contre les peuples orientaux en Amérique. La discrimination et la violence complètement physique contre les Asiatiques ont été considérablement plus importantes dans le sillage de l’épidémie de COVID-19, en particulier juste après les efforts de l’administration Trump pour faire de la pandémie une condition orientale. Conformément à la Ligue anti-diffamation, qui surveille les crimes de haine dans tout le pays, les informations faisant état de harcèlement des peuples d’Orient en Amérique sur les routes sont devenues de manière significative depuis janvier 2020, telles que des incidents de personnes se faisant dire «d’aller en Chine». ou être tenu pour responsable d’avoir «amené le virus» aux États-Unis. LeThi, qui prône l’égalité dans les activités sportives, en particulier en ce qui concerne l’ajout asiatique, est conscient du biais implicite présenté par les médias. (Et les préjugés explicites du leader Trump, qui a contribué aux sentiments racistes du gaz.) « Nous avons été poussés et poussés », affirme LeThi. «Il doit y avoir ce point de basculement. Depuis très longtemps au sein de la communauté, nous avons maintenant été utilisés comme bouc émissaire en termes de rhétorique raciste. La vérité est que c’est dans les médias de masse. La vérité est que les individus disent plus tard: «Oh non, ce n’était absolument qu’une blague» et les repoussent en quelque sorte. Lorsque le racisme lié aux coronavirus est arrivé, il s’est propagé si rapidement – et ce n’était pas que des phrases. C’étaient des coups de couteau, des coups de poing, des armes à feu visant la tête des gens, la rhétorique à travers la supervision. Et après cela, brusquement, une personne orientale à Ny commence à dire: ‘Oh mon seigneur, ce n’est pas seulement à Ny, c’est partout aux États-Unis, partout dans le monde.’ »« Je reçois ces conversations depuis longtemps. », Déclare LeThi, qui s’identifie comme arc-en-ciel, une expression beaucoup plus complète largement utilisée dans la communauté locale LGBTQ vietnamienne. «Les gens étaient attentifs, cependant, pas de la manière dont ils entendent maintenant. Pour moi, je suis dans ce moment particulièrement important car [dans les années à venir] tous les événements sportifs auront probablement lieu dans les pays asiatiques – même les tout premiers jeux Gay Online à Hong Kong, en 2022. Donc, toutes ces interactions ont finalement été portés au sommet. LeThi sera le tout premier ambassadeur asiatique de Sportsperson Ally, un organisme de bienfaisance axé sur l’égalité des champions LGBTQI, et Stonewall You.K., la plus grande organisation caritative LGBTQ d’Europe. Sa propre Fondation Amazin LeThi utilise des activités sportives pour renforcer les compétences d’autorité des «jeunes arc-en-ciel» et des promoteurs de l’alliance LGBTQ dans le quartier sportif. Les activités sportives peuvent être tout à fait un excellent fédérateur, et c’est un message que LeThi apportera à d’autres Jeux Olympiques, initialement prévus pour cette heure d’été à Tokyo, mais reportés en raison de la pandémie internationale. «Nous voulons utiliser ce programme de sport pour nous unifier et nous porter les uns avec les autres, et nous devons maintenant regarder le monde différemment», affirme LeThi. «Une partie de l’option serait de se tenir debout et en tant qu’allié…. Nous avons tous un lien avec la communauté orientale d’une manière ou d’une autre, et plutôt que de lutter [contre le racisme] avec colère, je pense que nous devons le combattre avec amour.

admin1143 / 20 mars 2024

Ce que nous devons à l’avenir

J’ai fait des recherches dans la littérature primaire sur les vaccins COVID-19 et les approches des vaccins contre les coronavirus en général.  Les progrès ont parfois été prometteurs, mais ils sont aussi en perte de vitesse.  La littérature sur le COVID est un peu désordonnée pour l’instant et il semble qu’elle le restera[1]. [J’aimerais donc terminer une série d’analyses en trois parties qui a commencé par l’examen de An Inconvenient Apocalypse : Environmental Collapse, Climate Crisis, and the Fate of Humanity de Wes Jackson du Land Institute et Robert Jensen en février.  Comme le laisse supposer le titre, Jackson et Jensen sont optimistes, si nous agissons intelligemment et avec détermination pour gérer l’apocalypse incommode qu’ils décrivent, mais ils ne sont pas particulièrement optimistes.

La discussion a ensuite porté sur la récente biographie complète d’Herman Daly par Peter A. Victor : Herman Daly’s Economics for a Full World : His Life and Ideas (L’économie d’Herman Daly pour un monde complet : sa vie et ses idées).  Herman Daly et ses proches collaborateurs, qui ont fondé la discipline de l’économie écologique, ont été les défenseurs les plus assidus d’une véritable durabilité, plutôt que du shibboleth commun, qui exige un développement sans croissance sous la forme d’une augmentation du rendement de l’économie, afin que le monde puisse durer aussi longtemps que possible pour le plus grand nombre possible de personnes.  Oui, il n’y a pas d’échappatoire à la deuxième loi de la thermodynamique, et l’univers finira (probablement) par s’épuiser, si l’on sait ce que l’on peut savoir.  Mais il n’y a rien à faire contre cela.

Avec Wendell Berry, je placerais Peter Victor et Herman Daly dans le camp de l’espoir mais pas de l’optimisme en ce qui concerne nos perspectives dans l’économie politique actuelle.  Ce n’est pas le cas du philosophe d’Oxford et entrepreneur intellectuel William MacAskill qui, au moment de sa nomination, était « le plus jeune professeur agrégé de philosophie au monde ».  L’année dernière, MacAskill a publié What We Owe the Future : A Million-Year View.  Si le grand Stephen Fry (de Cambridge et de V for Vendetta) a raison, MacAskill est définitivement du côté optimiste de l’argument.  Un résumé n’est rien d’autre que cela, mais voici Stephen Fry :

J’ai été captivé par l’exposé de MacAskill sur les possibilités d’une approche à long terme du présent.  Il est vital de faire comme lui, de sortir l’éthique de la sécurité des expériences de pensée des amphithéâtres, des paradoxes et des « et si » pour l’amener dans le monde réel turbulent. Là où soufflent les vents dynamiques de l’histoire et où se masse à l’horizon ce tsunami monstrueux et gonflant que nous appelons l’avenir.  Ce livre est d’une grande audace, d’une grande perspicacité et d’une grande imagination.  Être à la fois si réaliste et si optimiste, et toujours si facile à lire… eh bien, c’est un miracle pour lequel il faut l’applaudir.

Je ne doute pas que ce livre, qui est en effet très lisible, ait fait grand bruit dans les cercles habituels[2]. [Mais la question est de savoir pourquoi.  Une réponse plausible est que les gens ne veulent pas parler de notre passé relativement récent, les 200 ans au cours desquels la consolidation du capitalisme a culminé avec le triomphe du fondamentalisme de marché néolibéral dans notre triste présent.  Non pas que les marchés soient mauvais !  Ils fournissent ce dont nous avons besoin et que nous ne pouvons pas fabriquer nous-mêmes.  Mais pour la plupart des êtres humains sensibles, le présent pourrait être meilleur, tandis que l’avenir proche semble encore plus sombre, nonobstant Build Back Better et ses successeurs.  Si nous parvenons à traverser les 200 prochaines années, l’humanité aura peut-être un avenir.  Néanmoins, il est plus facile pour certains de penser au prochain million d’années, et c’est ce qu’a fait MacAskill.  Ses expériences de pensée et ses métaphores sont remarquables et souvent à couper le souffle.

La première d’entre elles consiste à imaginer que l’on a vécu la vie de tous les êtres humains qui ont jamais vécu.  Selon ses calculs, que je n’ai pas essayé d’analyser, cela prendrait 4 billions d’années, soit près de 300 fois l’âge de l’univers, si celui-ci a commencé il y a 14 milliards d’années avec le Big Bang.  MacAskill présente « cette expérience de pensée parce que la moralité consiste essentiellement à se mettre à la place des autres et à traiter leurs intérêts comme les nôtres… Ce livre traite du long-termisme : l’idée qu’influencer positivement l’avenir à long terme est une priorité morale essentielle de notre époque ».

Oui, et l’une des façons dont MacAskill a l’intention de le faire est de donner ce que nous pouvons, l’une des plus importantes de ses initiatives entrepreneuriales en série.  Cette forme de dîme laïque, également connue sous le nom d’altruisme efficace, considère le monde à travers le prisme de la cantine hollywoodienne, qui était à la fois noble et efficace pendant la Seconde Guerre mondiale, mais seulement à ce moment-là.  Les lumières brillantes représentées par Rita Hayworth et Marlene Dietrich, Bette Davis et John Garfield, ainsi que des milliers de personnes derrière la caméra, ont fait le travail de Dieu pendant les trois dernières années de la Seconde Guerre mondiale, tout comme la Stage Door Canteen à New York.

Le précédent livre de MacAskill, Doing Good Better, expose en détail sa vision de l’altruisme efficace.  Je l’ai lu pour vous éviter d’avoir à le faire, bien qu’il se lise rapidement.  Pour résumer, je dirai qu’en dehors du fait qu’il s’agit de la motivation/justification/excuse déclarée de Sam Bankman-Fried et de FTX, qui ne peuvent ni ne doivent être imputées à William MacAskill, l’importance de l’altruisme efficace, pour reprendre un autre trope courant de notre passé politique récent, peut être expliquée en moins de vingt mots : « Même avec un millier de points lumineux dans le ciel nocturne, il peut encore faire très sombre au sol ».

MacAskill utilise trois métaphores principales pour illustrer sa thèse.

L’humanité est l’adolescent imprudent dont la vie est si loin devant lui qu’il ne tient pas compte de la réalité pour faire des choix déterminants pour sa vie.
L’histoire est comme du verre en fusion qui, à un moment donné, durcit et n’est plus malléable.
Le chemin vers l’impact à long terme est une expédition risquée en terrain inconnu.

Que dire de tout cela ?  Bien que cela ne soit pas universellement vrai, les adolescents en tant que groupe ne sont pas connus pour leur prudence.  Plutôt qu’un adolescent imprudent, je propose qu’un meilleur choix pour expliquer où nous sommes et où nous allons soit l’adulte impudent.  L’histoire comme du verre fondu qui va bientôt durcir ?  Peut-être, mais je préfère considérer l’histoire comme plastique et dépendante de nos actions (ce dernier point est bien défendu par MacAskill).  Le terme « malléable » implique le « malleus », c’est-à-dire le marteau.  L’histoire n’est pas quelque chose que l’on peut marteler pour lui donner la forme d’un morceau de fer presque fondu, malgré les désirs des bâtisseurs de nations parmi nous.  Le verre se briserait.  Quant au terrain inconnu, tout ce que l’on peut dire, c’est « oui ».  Mais cela a toujours été vrai.

Parce que :

Je crois maintenant que le destin à long terme du monde dépend en partie des choix que nous ferons au cours de notre vie.  L’avenir pourrait être merveilleux : nous pourrions créer une société florissante et durable, où la vie de chacun serait meilleure que la meilleure vie d’aujourd’hui.  Ou bien l’avenir pourrait être terrible, sous la coupe d’autoritaires qui utilisent la surveillance et l’IA pour verrouiller leur idéologie, ou même de systèmes d’IA qui cherchent à gagner du pouvoir plutôt qu’à promouvoir une société prospère.  Il se peut aussi qu’il n’y ait pas d’avenir du tout (à cause des armes biologiques ou de la guerre nucléaire).

On pourrait ajouter le changement climatique anthropogénique et l’effondrement écologique qui conduisent à la dissolution de la civilisation.  La définition des « meilleures vies d’aujourd’hui » est laissée à l’imagination.  Cela signifie-t-il « PIB » ?  Avec ses retraites répétées dans les fantasmes des « économistes de la croissance », peut-être.  La figure 1.5 (p. 26) illustre la « production économique mondiale depuis l’an 1 de notre ère ».  Il n’est pas surprenant que la ligne soit plate jusqu’en 1850 et qu’elle soit presque verticale à partir de 1950, atteignant 100 000 milliards de dollars en 2010.  Bien que je ne doute pas de la validité de l’astuce économétrique à l’origine de ce graphique, sa signification reste floue.  Oui, les gens ont toujours dû cultiver pour manger et travailler pour vivre.  Mais le concept de PIB n’est peut-être pas particulièrement pertinent en l’an 267 de notre ère.  Il n’est pas non plus une bonne mesure du bien-être au XXIe siècle.

Le Bhoutan est souvent considéré comme la nation la plus heureuse de la planète, avec un PIB d’environ 2,5 milliards de dollars en 2021, selon la Banque mondiale.  La semaine dernière, l’USS Gerald R. Ford, construit en novembre 2009, a quitté la station navale de Norfolk pour son premier déploiement complet, le 3 mai 2023.  La probabilité que « les autoritaires (utilisent) la surveillance et l’IA pour verrouiller leur idéologie » n’est probablement pas un mauvais pari, en particulier compte tenu de l’hystérie actuelle sur l’IA et le ChatGPT (qui est désinvolte mais pas intelligent).  Les deux sont des desiderata néolibéraux ; ceux d’entre nous qui ont un certain âge se souviennent bien de « Go placidly amid the noise and the haste… », qui a été soigneusement affiché sur les murs d’innombrables dortoirs dans les années 1970.  Et bien qu’elle ne semble pas apparaître dans l’index ou dans les 81 pages d’environ 1100 références de la bibliographie (que j’ai imprimée : ~60 000 mots) compilée par Max, Stephen et John, je suppose que MacAskill a entendu parler de Shoshana Zuboff.  En ce qui concerne l’option « pas d’avenir du tout », on peut relire ce qui suit depuis lundi matin.  Pour le changement climatique anthropique et l’effondrement du climat, faites votre choix : David Wallace Wells pour une gifle ou Rebecca Solnit et ses co-rédacteurs si vous voulez lire qu’il n’est pas trop tard.

L’argument principal de MacAskill est que « les gens comptent, mais nous les comptons rarement ».  Tout dépend de la personne qui réfléchit et qui compte.  Parmi beaucoup d’autres, dont d’innombrables poètes, savants, philosophes et écrivains, l’ensemble de la vie et de l’œuvre d’Herman Daly a consisté à montrer une voie à suivre, à créer un monde qui dure le plus longtemps possible pour le plus grand nombre de personnes qui vivent une vie agréable dans un environnement hospitalier.  Jackson et Jensen soulignent que nous avons probablement dépassé notre marge de sécurité dans une certaine mesure et que nous devrions nous préparer à l’apocalypse à venir de la manière la plus rationnelle et la plus juste possible.  Si MacAskill n’est pas d’accord avec cela, il est néanmoins clair qu’il reconnaît notre péril à un certain niveau.  Ce qu’il ne semble pas comprendre, c’est que ce péril nous regarde en face.

Pourtant, le changement moral (chapitre 3) peut opérer sa magie comme il l’a fait dans le passé, illustré, par exemple, par la vie et l’œuvre d’un certain Benjamin Lay, un quaker né à Copford, en Angleterre, en 1682, qui s’est finalement installé à Philadelphie en 1732 après avoir été quelque temps commerçant à la Barbade, qui était la première société esclavagiste des Caraïbes britanniques.  Lay était, de l’avis général, un homme observateur et remarquable.  Il était petit, ne mesurant qu’un peu plus d’un mètre quatre-vingt-dix, et féroce.  Comme le note MacAskill, son « radicalisme moral prenait de nombreuses formes.  Il s’opposait à la peine de mort et au consumérisme [3]… végétarien, il refusait de porter du cuir ou de la laine… il portait des tissus non teints et refusait de boire du thé ou de manger du sucre ».  Il aurait eu sa place à la fin du XXe siècle et au début du XXIe siècle.

Benjamin Lay est considéré comme l’un des premiers abolitionnistes, et le monde lui doit beaucoup.  Selon MacAskill, « Lay était le paradigme de l’entrepreneur moral, quelqu’un qui pensait profondément à la moralité, la prenait très au sérieux, était tout à fait disposé à agir conformément à ses convictions, et était considéré comme un excentrique et un bizarre, pour cette raison ».  Naturellement, nous devrions tous « aspirer à être des bizarres comme lui ».  Et bien sûr, « changer les valeurs de la société est particulièrement important dans une perspective à long terme… ainsi que « l’importance et la contingence des changements de valeurs ».   Oui.

À ce stade, MacAskill utilise le concept biologique/évolutionniste d’un paysage d’aptitude pour expliquer la contingence des valeurs dans la société humaine.  La contingence dans l’évolution biologique est acceptée depuis longtemps, et la meilleure explication accessible reste, à ma connaissance, Wonderful Life : The Burgess Shale and the Nature of History, du grand Stephen Jay Gould.  La thèse est que si l’on repasse la cassette de l’évolution, il est peu probable que les choses se passent de la même manière la deuxième fois[4]. [Ainsi, la moralité est importante, de manière contingente.  Et ce que nous croyons détermine la manière dont nous agissons.  Le changement moral peut peut-être être modélisé comme un paysage d’aptitude, à condition que l’aptitude (un concept biologique intrinsèquement glissant depuis le 19e siècle) soit correctement définie.

J’ai soutenu en premier lieu, à la suite de Jackson, Jensen et Herman Daly, entre autres, qui ne surprendront pas un lecteur régulier, que le paysage de la forme physique de notre monde contemporain de capitalisme néolibéral tardif est gravement inadapté si la Terre et l’écosphère doivent continuer à soutenir la création.  Le fait que notre paysage de santé dépende de l’économie politique actuelle est une évidence.  Et le « verrouillage des valeurs » (chapitre 4, « l’histoire est comme du verre fondu ») que MacAskill craint est peut-être presque terminé, à mon avis.

Une meilleure métaphore biologique est peut-être celle développée par Conrad Waddington, embryologiste pionnier avant la révolution de la biologie moléculaire moderne.  Il a développé le concept de « canalisation du développement » pour expliquer pourquoi le développement animal est suffisamment robuste pour résister aux perturbations environnementales.  Il l’est, principalement parce que le développement est régulé par les gènes d’une manière séquentielle, voire strictement déterministe.  Plutôt qu’une surface tridimensionnelle avec différents sommets adaptatifs (analogues à la démocratie, au fascisme, au socialisme, à l’anarchisme, au fondamentalisme du marché libre dans le schéma de MacAskill), la métaphore de Waddington était celle d’une bille de développement roulant sur une pente tridimensionnelle avec différents canaux (vallées peu profondes) qui sont empruntés de manière quelque peu aléatoire en fonction des contingences de l’environnement.  Il n’y a pas d’itinéraire pour revenir au sommet d’une vallée plus élevée et les perturbations peuvent conduire à un point final erroné.  Le point final analogue, selon MacAskill, est le sujet de la philosophie morale et politique.  Cela dépasse le cadre de cet article, mais il y a des leçons à tirer de ce livre.  Par exemple :

À l’avenir, les pays qui maintiennent des taux élevés d’immigration et d’assimilation culturelle (et de PIB) gagneront en taille et en puissance : en effet, le journaliste Matt Yglesias a récemment proposé que, pour maintenir leur influence mondiale, les États-Unis augmentent radicalement l’immigration, dans le but d’avoir une population d’un milliard de personnes.

Ou, au lieu de parler de « puissance », que se passerait-il si « la nation indispensable » s’occupait de ses propres affaires et devenait une source de soins et de soutien pour le reste du monde au lieu d’entretenir plus de 700 installations militaires autour du globe tout en essayant vainement d’être l’équivalent d’un monopole magnétique dans un monde multipolaire ?  Nous avons les moyens physiques, sociaux et culturels de le faire en atteignant un très haut niveau de capacité d’adaptation.

Une autre leçon explique comment :

Un trait culturel peut gagner en influence s’il donne à un groupe une plus grande capacité à survivre ou à prospérer dans un nouvel environnement qu’à un autre groupe.  On pourrait penser que cette considération n’est pas très importante, parce que les gens habitent déjà presque toutes les régions éloignées de la terre.  Mais si l’on se projette dans l’avenir, il existe un vaste territoire sur lequel la civilisation pourrait s’étendre : l’espace… Si une culture faisait plus d’efforts pour s’installer dans l’espace ou avait plus de moyens pour le faire, elle finirait par éclipser toutes les cultures qui choisiraient de rester sur terre.

L’esprit s’emballe, mais cela donnera des frissons à nos intrépides pionniers de l’espace d’aujourd’hui.  Pourtant, il semblerait impoli, n’est-ce pas, de dire à un professeur agrégé de philosophie dans l’un des foyers de la philosophie morale moderne (ici et ici, par exemple) que 2001 : L’Odyssée de l’espace, Star Trek et Star Wars sont des fantaisies scientifiques, parfois considérées comme de la science-fiction, plutôt que des documentaires.

Ensuite, nous passons au fait que :

La plupart des pays les plus puissants aujourd’hui le sont en partie grâce à des taux de fécondité élevés… Le Nigeria devrait devenir un acteur géopolitique beaucoup plus important d’ici 2100, car sa population devrait passer de 200 millions à 730 millions d’habitants, ce qui en ferait le troisième pays le plus peuplé du monde.

Comme je l’ai déjà fait remarquer dans un contexte similaire, il s’agit d’un raisonnement à la Julian Simon qui ne tient pas compte de ce qui se passera probablement dans les 50 prochaines années, et encore moins dans les 100 ou 1000 prochaines années.  Herman Daly et la communauté des économistes écologiques se sont débarrassés à plusieurs reprises de cette mythologie de la ressource ultime, mais elle a le don de la vie éternelle. Quoi qu’il en soit, en ce qui concerne le Nigeria, je n’ai aucun doute sur le fait que les Nigérians pourraient se nourrir eux-mêmes s’ils en avaient la possibilité en dehors de la soi-disant « économie alimentaire mondiale », mais 730 millions d’habitants, c’est un peu exagéré, tout comme le milliard d’Américains souhaité par Matt Yglesias.

Les chapitres suivants sont consacrés à l’extinction, à l’effondrement et à la stagnation, y compris les estimations fallacieuses de leur probabilité.  En ce qui concerne l’extinction, MacAskill note que « tout comme le tabagisme a augmenté le risque de pratiquement toutes les formes de cancer (ce qui est quelque peu discutable), les guerres entre grandes puissances augmentent également le risque d’une foule d’autres risques pour la civilisation… elles détournent les dépenses des choses qui améliorent la sécurité et la qualité de vie (et) détruisent notre capacité à coopérer ».  Compte tenu de l’état actuel de l’Europe de l’Est et d’une grande partie du reste du monde, il n’y a rien à ajouter à cette déclaration simple et vraie.

En ce qui concerne l’effondrement, MacAskill semble ne pas réaliser que l’agriculture industrielle est une erreur de catégorie plutôt qu’un fait contingent de notre économie politique actuelle et verrouillée.  Bien qu’elle convienne à Big Ag et Big Biotech, elle n’apporte pas grand-chose à notre capacité à nous nourrir à long terme, en raison de sa propension à transformer le sol en terre inerte.

En ce qui concerne la stagnation, la technologie viendra à notre secours, en particulier la « technologie verte », qui permettra une croissance durable (sic) (presque) pour toujours, car « les économistes s’accordent presque tous à dire qu’à long terme, la croissance économique est tirée par le progrès technologique ».  Non, en fait.  La seule solution sur une planète finie avec une écosphère finie dont la capacité de charge est dépassée depuis longtemps est une économie stable.

En ce qui concerne le progrès technologique, ou la poussière de fée magique qui nous sauvera :

Au cours du siècle dernier, nous avons assisté à des progrès technologiques relativement réguliers, bien que lents.  Le maintien de ce progrès est le résultat d’un exercice d’équilibre : chaque année, il est plus difficile de progresser, mais chaque année, nous augmentons de manière exponentielle le nombre de chercheurs et d’ingénieurs.  Par exemple, aux États-Unis, l’effort de recherche est plus de vingt fois supérieur aujourd’hui à ce qu’il était dans les années 1930.  Le nombre de scientifiques dans le monde double toutes les deux décennies… La croissance exponentielle du nombre de chercheurs a compensé le fait que le progrès est devenu plus difficile au fil du temps… Historiquement, l’augmentation de la taille des populations a été un facteur majeur dans les taux de progrès technologique.  Comme l’a fait remarquer l’économiste Michael Kremer, lauréat du prix Nobel (sic), la taille de la population semble expliquer en grande partie le développement comparatif à très long terme de différentes régions géographiques.

Cela dépend de la définition de la recherche et des scientifiques.  Et si la définition courante du terme « exponentiel » signifie « qui augmente », je m’attendrais à ce qu’un philosophe d’Oxford utilise la définition technique qui implique qu’une croissance exponentielle de quoi que ce soit dans le monde naturel mène inévitablement à l’effondrement.  En outre, la question de savoir si tous ces nouveaux scientifiques et ingénieurs peuvent nous sortir de notre trajectoire actuelle par la technologie n’est pas sérieuse.  La réponse est non, sauf dans des cas exceptionnels.  Et je dois conclure sur ce point :

Les progrès de la biotechnologie pourraient offrir une autre voie pour relancer la croissance (après l’inévitable stagnation).  Si des scientifiques dotés de capacités de recherche dignes d’Einstein étaient clonés et formés dès leur plus jeune âge, ou si des êtres humains étaient génétiquement modifiés pour avoir de plus grandes capacités de recherche, cela pourrait compenser le fait qu’il y ait moins de personnes dans l’ensemble et ainsi soutenir le progrès technologique.

Mais MacAskill note immédiatement qu’il y aurait des questions de « faisabilité technologique » et « des interdictions réglementaires et des normes sociales fortes contre l’utilisation de cette technologie – en particulier contre les formes les plus radicales (quelles qu’elles soient), qui seraient nécessaires pour multiplier par plusieurs fois les efforts de recherche efficaces ».  Cela dépend des normes et des valeurs qui ont été « verrouillées », pour reprendre le modèle de MacAskill.  Il note ensuite que le fait d’avoir décidé de ne pas aller de l’avant avec le clonage humain « pourrait bien être pour le mieux, car le clonage humain pourrait plausiblement augmenter le risque d’enfermement dans de mauvaises valeurs ».  Ou peut-être qu’un mauvais verrouillage des valeurs rendra le clonage humain parfaitement acceptable ?  Il me semble que l’une de ces séquences déterminantes est aussi probable que l’autre si l’on se place dans une perspective d’un million d’années pour l’humanité.

Quoi qu’il en soit, tout cela est à la recherche d' »une seule société (qui) peut atteindre une culture durable à forte croissance, alors le monde dans son ensemble recommencera à progresser technologiquement » après avoir évité l’extinction et survécu à l’effondrement et à la stagnation.  Néanmoins, une « culture durable à forte croissance » est impossible si l’on entend par là la croissance, c’est-à-dire l’augmentation du rendement physique d’une économie dans un monde fini, plutôt que le développement de ce que nous pouvons et devrions être en tant qu’êtres humains, selon des définitions à déterminer.

Après avoir relu rapidement ce livre, je comprends pourquoi il a plu à tant de monde.  La présentation est exaltante d’un bout à l’autre, ressemblant à un discours TED de 261 pages, bien qu’avec 50 pages de notes de fin à interligne simple de 6 pt et une bibliographie de 81 pages à télécharger sur son propre site web (note à l’éditeur : un livre sérieux sans bibliographie jointe est loin d’être optimal pour le lecteur).

Mais le lecteur devra ignorer certains détails cruciaux, tels que l’absurdité totale d’envisager des polices, des cultures et des sociétés humaines transgalactiques comme solution à notre destruction de la Terre.  Aucune loi physique (connue) ne permet une telle chose.  Nous n’avons qu’un seul et unique foyer dans cet univers.  Alors peut-être devrions-nous penser à court terme et nous occuper de nos problèmes au fur et à mesure que nous les voyons ?  Cela me semble être une idée alternative et prometteuse.

Le livre conclut sur ce que nous pouvons et devons faire en tant qu’adeptes du long terme.  Les jeunes devraient choisir sérieusement leur « carrière » car, après tout, ils passeront 80 000 heures à faire ce qu’ils auront choisi.  Je suppose que c’est le cas, même si nombre de ces jeunes enthousiastes et volontaires se demandent à juste titre ce qu’est une carrière dans notre monde néolibéral et fondamentaliste du marché.  Selon la vision à long terme, tout ira bien dans un monde rempli de gens heureux qui sont devenus tels et qui le resteront, car des organisations telles que le Global Priorities Institute, le Future of Humanity Institute et Open Philanthropy nous guident vers notre long terme qui n’a pas de limite temporelle apparente (tant que le soleil brille ou que nous trouvons comment sauter dans un autre système solaire, une autre galaxie, voire un autre univers).

Enfin, je me souviens d’un passage d’un essai de Bertrand Russell (1872-1970, né lorsque Ulysses Grant était président des États-Unis et mort sous l’administration de Richard Nixon) que j’ai lu il y a très longtemps.  Si je savais dans quelle boîte de rangement se trouve le livre, je le chercherais[5]. [C’est l’une de ses rares déclarations avec laquelle j’ai été immédiatement en désaccord.  Russell était un humaniste convaincu qui a néanmoins connu des « difficultés » dans sa vie personnelle.  Il a écrit quelque chose comme quoi l’amour de l’humanité est possible parce que l’amour est infiniment extensible.  En fait, non.  Il ne l’est pas.  L’amour s’étend aux individus qui vous sont proches, que ce soit en tant que famille ou par choix.  Cela ne signifie pas que les autres humains et l’ensemble de la Création ne sont pas des objets essentiels de notre affection et de notre sollicitude en tant qu’êtres humains intentionnels.  La Création et nos « autres » rendent la vie vivable.  Et « bonne » dans la conception de William MacAskill et de pratiquement tous les autres philosophes dignes d’intérêt.  Herman Daly a écrit que le souci de ceux qui viendront après nous est un bien public au sens technique du terme.  Oui, c’est bien cela.  Et un longtermisme indéterminé n’a rien à voir avec cela.

 

admin1143 / 7 février 2024

L’importance de Londres pour le team-building corporatif

La découverte de Londres en tant que destination pour les voyages d’entreprise et les activités de consolidation d’équipe présente un mélange exclusif de grandeur historique, Agence Séminaire de richesse culturelle et d’innovation moderne. En tant que l’une des principales capitales financières et culturelles du monde, le Royaume-Uni offre un large éventail de possibilités de perfectionnement professionnel, de mise en réseau et de cohésion d’équipe, ce qui en fait un lieu idéal pour les entreprises qui cherchent à favoriser un environnement de travail collaboratif et impressionnant.

L’histoire de Londres s’étend sur plus de deux millénaires, comme en témoignent son architecture variée, ses sites légendaires et ses entreprises culturelles. Pour les groupes d’entreprises, une excursion guidée sur des sites traditionnels tels que la Tour de Londres, l’Abbaye de Westminster ou le British Museum peut constituer non seulement une rencontre éducative, mais aussi une source de motivation. Ces visites peuvent servir de toile de fond à des exercices de renforcement de l’esprit d’équipe, encourageant les participants à établir des parallèles entre la volonté et la créativité qui ont façonné Londres et les valeurs qu’ils aspirent à incarner dans leur vie professionnelle.

Londres est à la pointe des tendances internationales en matière de technologie, de financement et d’industries créatives. L’organisation de voyages d’affaires autour de rendez-vous dans les centres d’innovation de la ville, tels que Tech City dans l’est de Londres ou le quartier financier de Canary Wharf, peut offrir un aperçu très utile des dernières pratiques commerciales et des technologies émergentes. Les ateliers et les séminaires organisés dans ces lieux avec des experts du secteur peuvent favoriser l’échange de connaissances et stimuler la créativité, tandis que les activités de constitution de groupes axées sur la résolution de dilemmes et l’innovation peuvent renforcer la dynamique d’équipe et les compétences en matière de collaboration.

Le vaste éventail de lieux et d’activités de Londres en fait un endroit exceptionnel pour organiser des événements de création de personnel personnalisés en fonction des objectifs de l’entreprise. Les activités d’aventure telles que les salles d’évasion ou les chasses au trésor dans la région peuvent favoriser le travail d’équipe, la connexion et la réflexion stratégique. Des exercices de cuisine en équipe, tels que des cours de préparation de plats présentant des mets britanniques, peuvent favoriser la coopération et la reconnaissance culturelle. En outre, la participation à des projets de services communautaires dans toute la ville peut promouvoir la responsabilité sociale et renforcer les liens d’équipe par le biais de croyances partagées.

Le statut de la ville en tant que centre mondial d’entreprises facilite les perspectives de mise en réseau avec des spécialistes et des agences de nombreux secteurs. La participation à des conférences, à des manifestations commerciales ou à des événements sectoriels au Royaume-Uni permet aux équipes d’entreprise d’établir des contacts, de partager des informations et de se tenir au courant des tendances du marché mondial. Les programmes de formation professionnelle sur mesure proposés par certaines des prestigieuses écoles supérieures et institutions spécialisées de Londres peuvent améliorer les compétences de l’équipe et les aptitudes personnelles, contribuant ainsi au progrès général de l’organisation.

L’effervescence culturelle de Londres offre de nombreuses possibilités de détente et de divertissement, éléments importants de tout voyage d’affaires réussi. Les productions théâtrales du Western End, les concerts et les expositions d’art constituent d’excellents moyens de se divertir et de s’immerger dans la culture. Les sorties d’équipe dans des lieux emblématiques comme le Central London Eye ou une croisière sur la Tamise peuvent offrir des expériences inoubliables qui enrichissent l’esprit d’équipe et la camaraderie.

Un voyage d’entreprise à Central London, lorsqu’il est organisé de manière réfléchie, peut être très bénéfique pour une organisation en renforçant la cohésion du groupe, en encourageant l’innovation et en facilitant le développement des spécialistes. La clé d’un voyage efficace réside dans l’équilibre entre les routines structurées de renforcement de l’esprit d’équipe et les possibilités d’exploration et de détente personnelles. Cette méthode garantit que les membres ne se développent pas seulement professionnellement, mais qu’ils nouent également des liens personnels beaucoup plus forts avec leurs collègues, ce qui conduit à un lieu de travail beaucoup plus collaboratif et productif.

Londres, avec son mélange unique de niveau historique, de diversité culturelle et de progrès, offre un cadre incomparable pour les sorties d’entreprise et les activités de développement de l’équipe. Le riche patrimoine de la ville et son statut de centre d’affaires mondial offrent une toile de fond stimulante pour le développement d’experts, le marketing et la cohésion des équipages. En tirant parti du vaste éventail de sources et d’opportunités qu’offre Londres, les organisations peuvent produire une expérience enrichissante qui favorise les sentiments d’unité, encourage la créativité et contribue à leur réussite globale. En somme, explorer Londres pour le voyage d’entreprise, ce n’est pas seulement visiter un endroit, c’est s’embarquer pour un voyage qui peut renforcer les équipes et inspirer la qualité dans le domaine des compétences.

admin1143 / 6 février 2024

La dépollution de la qualité de l’air dans le batiment

Pourquoi la qualité de l’air est-elle un problème pour l’immobilier ? L’expression la plus célèbre que les professionnels de l’immobilier prononcent à l’intention des clients potentiels est peut-être « emplacement, emplacement, surface ». Dans l’immobilier, la superficie est sans aucun doute un élément clé du processus de vente : Les clients peuvent considérer davantage la vue, la sécurité, la facilité de la propriété. Mais il faut aussi tenir compte d’un autre facteur, souvent caché, qui ne se révèle souvent qu’après l’achat : la pollution atmosphérique. L’Organisation mondiale du bien-être (OMS) estime à 4,2 millions le nombre de décès annuels dus à la pollution de l’air extérieur. Avec 90% du monde qui respire un air pollué, avoir la possibilité de choisir une maison en fonction de la qualité de l’air est une source bénéfique. Et si vous pouviez offrir à vos clients potentiels des informations précises et authentiques sur la qualité de l’air pour chaque propriété que vous répertoriez ? BreezoMeter a été créé avec cette cause spécifique. Quand notre directeur général et co-créateur Ran Korber a eu besoin d’acheter une maison dans une zone avec des niveaux de pollution bas, il a reconnu l’espace entre les données officielles de pollution de l’air et exactement ce que le grand public pourrait vraiment utiliser, dans la situation immobilière une introduction à la pollution de l’air par des blocs de communauté/ville. Avec deux amis professionnels de l’écologie, ils ont décidé de rendre la pollution atmosphérique perceptible et exploitable en temps réel. (Regardez l’histoire du BreezoMeter plus en détail ici). Il y a toute une série d’éléments à prendre en compte lors de l’achat d’une maison. Ceux qui sont sur le marché pour une maison neuve veulent avoir le plus de détails possible sur une propriété. Plus les entreprises immobilières tiennent compte des détails, plus la probabilité de créer une vente est grande, puisque les clients sentent que leur contact est vraiment un expert et qu’ils traitent – après tout, une maison est souvent l’achat le plus important que l’on puisse faire. Si vous êtes un agent offrant aux acheteurs potentiels des détails qui peuvent avoir un impact sur leur propre santé de manière authentique – en les informant de leur exposition possible à un air contaminé – vous finirez par offrir des services hautement personnalisés et différenciés qui auront un impact sur la perception et la satisfaction générales. En raison du grand nombre de clients avertis et de la facilité d’accès aux informations sur les propriétés, les chasseurs de maisons recherchent des entreprises immobilières qui sont présentes et utilisent toutes les informations disponibles pour informer leurs clients. Étant donné que les statistiques et les visualisations dépendantes de l’emplacement prennent généralement de l’importance dans le secteur de l’immobilier, le fait de combiner les deux dans des aperçus environnementaux personnalisés peut avoir un effet positif sur le positionnement de votre entreprise et apporter une valeur ajoutée considérable. Certains des plus grands sites web immobiliers tentent aujourd’hui d’intégrer la qualité de l’air en temps réel et en résolution routière dans leur site web et leurs solutions. Cette incorporation est simple à mettre en œuvre, via une API de relaxation intuitive, et peut offrir aux clients potentiels des cartes thermiques de la qualité de l’air qui rendent visibles des menaces invisibles. L’augmentation des objectifs ESG (écologiques, interpersonnels et de gouvernance) parmi les entreprises immobilières démontre un changement de conscience dans la responsabilité des entreprises. 60 % des négociants en immobilier intègrent désormais des critères ESG dans leurs stratégies, et nombre d’entre eux cherchent de meilleurs moyens d’évaluer le danger du changement climatique pour leurs entreprises. Les investisseurs en immobilier industriel considèrent désormais les technologies climatiques et les connaissances écologiques comme des méthodes permettant de s’assurer que leurs portefeuilles seront bientôt plus résistants au changement climatique, et les acheteurs considèrent désormais le réchauffement de la planète comme un facteur à prendre en compte dans leurs calculs. Les technologies de prévision environnementale ouvrent aux sociétés immobilières des possibilités de développement qui n’étaient pas concevables il y a seulement quelques années. La santé étant une priorité pour de nombreux clients, et la corrélation entre l’assurance maladie et la qualité de l’air étant un fait avéré, il n’est que rationnel de proposer des informations précises sur la qualité de l’air ainsi que d’autres facteurs de vente importants.

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