Noël est passé, et avec lui sa flopée de cadeaux, le plus souvent très banals. Mais entre une cravate et un livre de cuisine, se cache parfois sur une pépite. Si vous êtes intéressé par LINK, veuillez consulter notre page Web. Comme cette année, où j’ai reçu une séance de pilotage d’avion ! Le cadeau qui m’était offert par un ami passionné d’aviation (qui n’est jamais en reste pour trouver des idées étranges) que j’étais impatient d’essayer. Quelques jours après Noël, j’ai appelé le prestataire pour réserver une date ! Si vous êtes intéressé par LINK, veuillez consulter notre page d’accueil. Après une première annulation en raison de la météo, dimanche dernier, je suis allé à l’aérodrome avec mon ami pour tenter l’aventure. Nous avons fait la connaissance de Cyril, un pilote de longue date. Après qu’il nous ait fait un brief, nous avons pris place à bord de l’appareil et j’ai pris place sur le siège du pilote. L’avion disposait de quatre places, la belle-famille a pu assister à mes débuts de pilote en tant que passager. J’étais certain que mon instructeur allait gérer le décollage et l’atterrissage, qui sont les phases plutôt délicates. Mais en fait, comme je ne lui paraissais pas trop tendu, il a décidé que je pouvais m’en charger ! Ce n’était pas du suicide à proprement parler : notre avion était destiné à la formation : toutes les commandes étaient donc doublées. Yannick pouvait ainsi reprendre la main au moindre problème. La partie décollage n’a posé aucun problème, au final. Lorsu’on a mis les gaz, il suffit de ramener doucement sur le manche vers soi, et direction le ciel. Et en altitude, même un enfant de 5 ans pourrait prendre les commandes. Les petits appareils ont extraordinairement maniables. C’est carrément très facile à piloter qu’une voiture. Là-haut, il faut prendre en considération une dimension, mais il n’y a pas d’obstacle ni de circulation. C’est tellement simple qu’on peut obtenir son brevet de pilote avant même d’avoir l’âge légal pour avoir le permis B ! Ceci dit, piloter requiert tout de même une certaine concentration. L’appareil est maniable, mais son faible poids fait que la moindre bourrasque le fait ballotter. Il est donc indispensable de corriger cela avec le manche. Mais bon, ce n’est pas bien compliqué. Le seul moment un peu délicat, en fin de compte, ça a été l’atterrissage. Mais même là, Jérôme est intervenu pour modifier notre vitesse d’approche. Mais sinon, j’ai vraiment tout fait jusqu’au bout. Au final, j’ai bien apprécié cette initiation au pilotage d’avion. Et au-dessus de cette nature, la vue est en plus remarquable. Enfin, si j’en crois ma femme. J’étais tellement concentré sur le fait de maintenir l’assiette de l’appareil, et je n’ai que très peu regardé le paysage en dessous !